HYDROPHOBIA
Synopsis: Un jeune garçon vas subir un étrange phénomène dans un lac à l'occasion de d'un exercice physique guider par leurs professeur...
ISOLATION
Alors que nous nous projetions de nager sous les ordres du professeur dictatorial, j'observais cette magnifique fille que j'aime tellement mais que je n'ose avoué mes sentiment à cause de cette maudite timidité maladive. Nous étions assis moi ; ma bien aimée ; sa copine ; mes ami hypocrite mais des gens avec qui je m'entends bien malgré quelque critiques que je pourrais bien leurs exprimer mes reproches ouvertement mais que ma maudite timidité maladive m'empêche de faire et les autres que je ne connais pas malgré les années que j'ai passer a leurs cotées.
Le ciel est magnifique, par son azur claire parsemé de nuages avec des formes apaisantes . Alors que j'étais en pleine rêverie, cette énergumène me ramène a ma condition d'élève inférieur par ma position assise en tailleur comparé à la hauteur écrasante de mon hautain professeur qui me débite des reproches dont je ne prends pas le temps d'en saisir le sens. Une fois que je répondis poliment afin de passer à autre chose plutôt que de continuer à m'ennuyer sur ses paroles de haine. Ainsi, il nous expliqua que nous devions nager dans ce lac d'une transparence tellement parfaite quelle donne envie de se plonger des pieds à la tête sans plus tarder.
ASPHYXIE
Sans avoir écouté la suite, le professeur cria d'un ton sec et tout le monde se leva puis partie aller nager, surpris par autant d'agitation, je me contentât de suivre le groupe en étant légèrement en retard. Petit à petit, tandis que je nager un crawl approximatif je sentis la fatigue m'attirer vers le fond d'un noir de plus en plus sombrer, cela à cause de ma faible condition physique et mon manque d'endurance.
Je manque d'aire, il m'en faut absolument, par tout les moyens possible !» : cette pensé m'obsédât tandis que je plongé vers le fond dont je ne voyais pas la fin. Soudain, je panique et grâce à la peur de la mort par asphyxie je parvint à remonter jusqu'à la surface. Mon cœur palpitant, je réussie tout de même à remonter à la surface,après que j'eus réussie a calmé ma panique et récupérer mon souffle, mon premier réflexe fut de chercher un repère c'est ainsi que je vit ce rochers.
ANGOISSE
Je fut remplie d'un sentiment d'espoir immense alors je nagea la brasse afin de m'approchai, tout en ayant ce rochers dans mon champs de vision, car je ne voulais qu'il disparaisse . Enfin lorsque je pus m'accroche à ce rochers je mis tout le reste de mes effort à monté dessus afin d'avoir le réconfort d'un repaire solide dans les 2 sens du terme. Premièrement à 4 pattes puis sur mes 2 pieds. Quand tout à coup, je n'en revenais pas de mes yeux ! L'eau qui il n'y à pas si longtemps étais transparente fut recouverte d'une mélasse verte qui recouvré l'ensemble du lac à perte de vue ... J'étais horrifié.
Médusée, mon espoir fut remplacer par un sentiment de terreur, j'étais cernée par cette surface d'un vert répugnant. « Comment me sortir de cette situation ? » me demandais-je, c'est alors que j'entendis des voix aux loin derrière moi certaines me crier de revenir d'un ton agacée d'autre rigoler, sûrement dû au faite que j'étais perché sur ce roche et que mon corps tremblant me fessais honte. Alors, en faisans attention à ne pas tomber je me retournât avec la grand prudence, afin d'évité de tomber dans le liquide étrange. Le regard fixée sur mes pied, j'entends le cri de mes camarades mes disant d'aller plus vite pour après partir car je leurs avait fait prendre du retard.
Mon cœur se remit a battre follement en s'emballant sous la pression tandis que mon visage trahissait ma terreur à l'idée de nagée dans cette chose liquide dont j'ignorai la nature. Mais au moment ou je tentas le moindre petit mouvement pour me convaincre de me lancé, je glissât du rocher malgré moi...
HALLUCINATION
Dans la panique, la plus absolue mon réflexe fut de me débattre afin de resté a la surface à tout prix ! Malgré cela je sentit le liquide qui non seulement avait pris une couleur verdâtre mais en plus il étais plus visqueux qu'avant et une crasse ressemblant à des algues se collât rapidement à ma peau... j'étais dégoutté mes muscle se contracte du plus que possible malgré mes contractions je tentais de nager du mieux que je put pour pour atteindre mes camarades mais lorsque ma tête était immergé j'entendis les bruits sourds d'os en suspensions dans le liquide que remué avec mes membres le pire c'est que même si je reconnaissais certains élément en suspension dans l'eau, ils se collé contre la couche qui se formé sur mon corps et je sentit de choses qui bouge à l'intérieur de la couche cette sensations devenait de plus en plus insupportable.
Mais alors que je sentit de moins en moins mes membres, je vis la plateforme à laquelle étais tout mes camarades qui me regardé avec dégoût. Mais à ce moments la, c'était bien la première fois que je n'en avais plus rien à faire et que seul ma vie comté même si j'ignore ce qui ce passe dans mon corps cerner par toute cette masse collante. Tandis que j'avais enfin mis la main sur la plateforme, personne m'aidas mais ce n'étais pas grave car je réussi malgré la viscosité de mes main a me tirer tout mon corps sur la surface solide.
INFECTION
Alors que j'étais allonger par terre pour reprendre mon souffle je ne pouvais que par réflexe me débarrassé de toute cette épaisse couche de crasse que contenait je ne sais quoi mais je gesticuler dans tout les sens pour enlever le moindre morceaux de cette substance sur mon corps. Pendant cela, je remarquer que tout le monde était horrifier mais surtout dégoutté mais cela ne me gêner pas malgré le faite que cela amplifia le sentiment de sale que je ressenti a mon égard. Et le pire c'était de voire ma bien aimée qui était tellement choquée de me voire dans cette état cela la dégoutté et je croie bien quelle en a vomie son estomac... C'est cela qui me fit le plus mal.
Après m'être débarrasser du maximum de ce que je pouvais, je me mis a me gratter compulsivement partout mon corps jusqu'à ce que du sang se fit remarque ce que j'en vue en sortir me fit frémir . Une dizaine d'insecte j'en hurlais a la fois de terreur et de douleur ! Mais le sang lui n'arrête pas de coulait en effet cette ouverture qui se situé dans le bras s'ouvrit de plus en plus je commence a avoir froid et je commence a sombrer dans cette horrifique infection au quelle je ne me réveillerai plus...

