Egon schiele à Louis Vuitton

29/05/2019

Egon Schiele a véritablement réussi à s'imposer en tant qu'artiste emblématique de l'Autriche, au coté de Gustave Klimt.

J'ai eu la chance de me rendre à la fondation Louis Vitton, à Paris, afin de découvrir le travaille étrange de ce peintre et dessinateur. Une exposition exceptionnel pleines de dessins de tableaux et surtout de gens.

<< Première monographie de Schiele à Paris depuis vingt-cinq ans, elle propose des œuvres de tout premier ordre, comme Autoportrait à la lanterne chinoise (1912) emprunté au Leopold Museum (Vienne), Femme enceinte et mort (mère et mort) (1911) de la Národní galerie (Prague), Portrait de l'épouse de l'artiste (Edith Schiele), tenant sa jambe (1917) de la Morgan Library & Museum (New York), Nu féminin debout avec tissu bleu(1914) du Germanisches Nationalmuseum, Nuremberg, Nu masculin assis vu de dos (1910), de la Neue Galerie New York ou Autoportrait (1912) de la National Gallery of Art, Washington. >>

FONDATION LOUIS VITTON

Que l'on aime ou non la fondation Louis Vuitton il faut reconnaître que l'exposition était bien fournis et organisé. Le grand bémols étaient enfaîte les salles bien trop étroites pour accueillir une tel foule, certains tableaux se trouvaient quasiment inapprochable, et il fallait être armé d'une sacré patience.

Les 3/4 de l’exposition était consacré à ses nombreux dessins et notamment son travail sur l'anatomie, on y trouvait majoritairement des autoportraits tous plus farfelu les uns que les autres, mais également beaucoup de nus de femmes.

J'aime particulièrement les pose qu'il prenait en se dessinant, toujours de manière plus extravagantes, étrange, voir dérangeante, cela couplet à une anatomie souvent impossible et fracturé.

En bref j'ai beaucoup aimé cette exposition, et je regarde aujourd'hui l'oeuvre de Schiele d'un oeil nouveau.